Jacques Vaché
Jacques Pierre Vaché, né à Lorient le 7 septembre 1895 et mort à Nantes le 6 janvier 1919, est un écrivain et un dessinateur français. À l'origine du « groupe des Sârs » de Nantes, avec notamment Jean Sarment, il n'a laissé pour toute œuvre qu'une série de lettres, quelques textes et quelques dessins. Le ton de son œuvre est volontairement provocateur, pacifiste voire antimilitariste.
Appelé au front lors de la Première Guerre mondiale, il en revient blessé et profondément marqué. Sa personnalité a exercé une profonde influence sur les surréalistes et, tout particulièrement, sur André Breton qu'il rencontre pendant sa convalescence. Peu de temps après le conflit, Jacques Vaché meurt par overdose d'opium dans un hôtel nantais à l'âge de 23 ans.
Par la suite, Breton mythifiera Vaché et le considèrera comme le précurseur du mouvement dans son Manifeste du surréalisme. C'est à partir des années 2000 que Jacques Vaché est redécouvert et analysé par plusieurs historiens et biographes.
Textes parus en revues
Textes parus dans Dada (1917-1920)
Pas de textes de Jacques Vaché dans Dada
Textes parus dans Littérature (1919-1921)
- Lettres - Littérature n° 5, juillet 1919
- Lettres (suite) - Littérature n° 6, août 1919
- Lettres (fin) - Littérature n° 7, septembre 1919
Textes parus dans Littérature nouvelle série (1922-1924)
Pas de textes de Jacques Vaché dans Littérature nouvelle série
Textes parus dans La Révolution Surréaliste (1924-1929)
- Le sanglant symbole - LA RÉVOLUTION SURRÉALISTE N°2, 15 JANVIER 1925
Textes parus dans Le surréalisme au service de la révolution (1930-1933)
Pas de textes de Jacques Vaché dans Le surréalisme au service de la révolution
Répartition temporelle des textes de Jacques Vaché parus dans les revues surréalistes (1917—1933)
On trouvera représentée ici la répartition dans le temps des textes de l'auteur, par revue de parution.
Tracts de ou mentionnant Jacques Vaché
Textes d'auteurs Mélusine citant Jacques Vaché
- Les inconnu(e)s du surréalisme - par Émilie Frémond
- Christophe Graulle, André Breton et l’humour noir - par Alain Mascarou